Je me suis joint à FBN à l'époque parce que j'avais eu la chance de
  faire des rencontres avec des gens du management à Montréal, où
  j'avais rencontré des gens tout à fait inspirants et j'avais été
  rapidement séduit par la culture de l'entreprise, son côté dynamique,
  entrepreneurial et aussi, surtout, sur le fait de l'appartenance à une
  grande banque. J'ai aussi rapidement constaté que la firme est un chef
  de file dans les technologies, surtout au niveau des logiciels
  financiers. Et j'avais aussi vraiment apprécié le fait qu'on était en
  avance sur tout le monde en terme de gestion discrétionnaire et aussi
  en termes de gestion de panier CP. En fait la Financière Banque
  Nationale a plusieurs atouts pour un conseiller en placement. D'une
  part, notre siège social ici au Québec, nous confère une proximité
  avec l'équipe de direction. Également notre actionnaire, la Banque
  Nationale, aime la gestion de patrimoine. Sur le plan technologique,
  la firme s'est assurée de donner les outils pour avoir du succès,
  qu'on travaille du bureau ou à distance. Je dirais également que sur
  le plan technologique, la firme a développé une série d'outils pour
  nous aider. Je pense à des outils d'assistance à la gestion de
  portefeuille, je pense à des outils de planification de retraite et
  également il faut que je le nomme nos équipes multidisciplinaires
  comme nos planificateurs financiers ou encore les experts en
  planification successorale. Un mot également sur la réputation de la
  banque. La Banque nationale a une très bonne réputation et c'est
  quelque chose qui nous aide quand vient le temps d'aborder des clients
  ou des prospects. La gestion de notre équipe prend de plus en plus de
  place dans notre rôle au quotidien. Notre rôle comme
  conseiller aujourd'hui est de s'assurer une communication primordiale.
  C'est de s'assurer d'établir des objectifs qui soient clairs, des
  moyens pour tous et chacun dans l'équipe, de faire le suivi de ce qui
  se fait, et de comment ça se fait, et surtout de confier les bons
  dossiers aux bonnes ressources. En fait, on est passé d'un modèle de
  conseiller avec une adjointe à maintenant des équipes avec beaucoup de
  personnes. On est rendu maintenant des véritables chefs de petites
  entreprises. On a plein d'enjeux, comme des propriétaires
  d'entreprise, de budget, d'investissements de toutes sortes à faire et
  surtout des enjeux de RH. Je suis dans ce contexte là. Nos
  gestionnaires, c'est à dire nos directeurs de succursales, sont
  vraiment des partenaires précieux qui doivent nous accompagner dans
  ces défis là. Ils doivent investir avec nous et en nous. Puis je suis
  pas mal aussi fier du virage que la firme a fait il y a quelques
  années quand ils ont permis la création d'une équipe
  multidisciplinaire pour qu'on puisse suivre l'évolution des besoins de
  nos clients. En fait, pour moi, c'est le meilleur des deux mondes.