Tôt au début du conflit armé en Ukraine, nous avons pris la décision
  de retirer tous nos investissements directs en Chine et dans les pays
  émergents pour réinvestir la majeure partie des sommes libérées
  au Canada et aux États-Unis dans des indices très larges. Fait à
  noter, nous ne détenions précédemment aucun investissement en Russie
  et que très peu en Europe (moins de 1%).
  
 Au gré de ces ventes et des rebalancements effectués depuis le début
  de l’année, nous avons donc augmenté notre pondération en
  espèces/quasi-espèces. Au moment d’écrire ces lignes, aucun de nos
    modèles réguliers ne détient plus de 60% en titres de participation
  (actions) et chacun détient environ 10% ou plus de ses actifs
    en espèces/quasi-espèces, et ce, prêt à être redéployé. Ce
  faisant, sous réserve de l'évolution des marchés et de la crise
  géopolitique, nous nous considérons actuellement plus enclin à saisir
  les opportunités se présentant à nous, qu’en mode liquidation.
  
 Outre Tesla qui fait toujours partie de nos titres privilégiés, de
  même que quelques titres en immobiliers, la majeure partie de votre
  allocation en actions restantes est donc majoritairement composée de
  grands indices boursiers comme le TSX 60 ou le S&P500. Dans le cas
  de TSLA, le titre demeure particulièrement bien positionné face à la
  transition énergétique et à la hausse actuelle des prix du carburant.
  Concernant les indices américains et canadiens susmentionnés, nous
  jugeons pertinent de rappeler que ceux-ci vous exposent à plusieurs
  grands noms de diverses industries, dont :
 
  
 Nous pouvons vous fournir une liste plus détaillée de ces positions
  indirectes dans lesquelles vous êtes investies par le biais de nos
  fonds négociés en bourse (FNB). L’essentiel de notre message est de
  mieux vous démontrer que la portion actions de vos portefeuilles est
  investie en quasi-totalité dans de grandes entreprises, de grande
    qualité et toutes leaders de leur industrie.
  
 
  Finalement, il faut toutefois reconnaître que nous avons manqué de
    conviction au début du conflit armé pour investir dans le secteur
    pétrolier, ce qui apparaît aujourd’hui avoir été une opportunité
    d’investissement facile. Avec du recul, cette commodité demeure une
    classe d’actif volatile qui mérite que nous en poursuivions une
    réévaluation neutre.
 Afin de discuter de ce courriel ou pour en apprendre davantage sur
  les changements qui ont été effectués dans notre modèle, n’hésitez pas
  à communiquer avec nous.
 
  Il en va de même si vous éprouvez actuellement des craintes et des
    questionnements sur l’environnement économique actuel et que vous
    aimeriez en discuter avec nous.
  
 
  P.S. 
    Complément d’information
 Bien que tous les médias abordent déjà allégrement ces sujets, voici
  quelques liens additionnels vous dirigeant vers des articles en
  français qui pourraient aider à vulgariser certains points abordés ici :
 
  Warren Buffett en profite pour acheter - Denis Lalonde, chef de
  l'information chez Les Affaires.
 
  https://www.lesaffaires.com/blogues/denis-lalonde/bourse-le-temps-d-imiter-warren-buffett/632883
 
  L'inversion de la courbe n'est pas signe de récession – Morningstar.
 
  https://www.lesaffaires.com/mes-finances/planification/acheter-ou-vendre-que-doivent-faire-les-investisseurs/632916
 
  Pas de récession en vue, ni de stagflation - Pierre Cléroux,
  vice-président à la recherche et économiste en chef de la Banque de
  développement du Canada.
 
  https://www.lesaffaires.com/blogues/pierre-cleroux/pas-de-recession-en-vue-ni-de-stagflation/632579