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Actualités économiques

Impact économique

Afin de vous éclairer et de stimuler votre réflexion face au contexte actuel, Stéfane Marion et Denis Girouard se penchent sur l’actualité économique et vous partagent leurs perspectives via nos vidéos informatives mensuelles.

Bonjour tout le monde, bienvenue à Impact économique. Aujourd'hui nous sommes le 12 novembre 2025 et comme à l'habitude, je suis en compagnie de notre économiste en chef, Stéfane Marion. Bonjour Stéfane.

Bonjour Denis.

On va parler de taux d'intérêt pour débuter.

On a plein de choses à se parler aujourd'hui Denis, mais effectivement, commençons par les taux d'intérêt. La Banque du Canada, 9ième baisse de suite depuis la dernière fois qu'on s'est vu, à 2.25. La Banque considère que maintenant sa politique est neutre et peut-être qu'elle en a fait assez. Remarque l'écart considérable avec les États-Unis, donc l'apport du stimulus monétaire a été quand même important de ce côté-ci de la frontière.

Pourtant l'économie canadienne ne va pas aussi bien que cela donc c'est normal qu'on arrête la baisse des taux en ce moment-ci?

Ben la Banque a dit, « Écoutez, selon ma prévision, si ça continue comme ça, peut-être que je suis justifié d'arrêter ». Parce que la réalité Denis, c'est sans que l'économie, euh bon, on casse rien présentement, mais il y a quand même une amélioration substantielle dans les derniers mois. Donc la croissance, elle est peut-être pas aussi rapide que l'on voudrait mais elle est quand même au rendez-vous plus qu'on pensait. Donc dans ce contexte-là, la Banque centrale dit, « Ben écoutez, il y a peut-être d'autres éléments qui me disent que au-delà de la politique monétaire, y a peut être d'autres choses qui devront se passer sur l'économie canadienne à partir de maintenant puis que moi j'ai joué mon rôle ».

On a quand même eu une surprise sur l'emploi?

Ouais, bien donc.

C'est une grande surprise.

Oui parce que ça fait 2 mois de suite que on crée beaucoup plus d'emplois que prévu, de sorte que moi j'ai été surpris moi-même, Denis, là. Taux de chômage qui baisse, rebaisse sous la barre du 7%. L'autre chose c'est les salaires sont aussi en augmentation, donc le pouvoir d'achat des ménages ne se dégrade pas donc ça t'amène un petit peu plus de résilience pour l'économie dans les prochains mois. Il y a encore des incertitudes Denis, mais c'est moins pire qu'on pensait. De là le nouveau positionnement de la Banque Centrale.

D'autant plus que la création d'emplois est dans le secteur privé, ce qui est très porteur.

Même étonnant, mais porteur très certainement.

Ça va un peu à l'encontre de tout ce qu'on entend.

Oui. Cela étant dit, j'aimerais juste amener un certain bémol, voyez la tendance au U.S. qui se dessine avec de moins en moins de croissance. On parle même potentiellement d'emplois négatifs aux États-Unis dans les prochains mois. Au Canada, remarquez qu'on a eu des séries d'emplois qui sont beaucoup plus volatiles qu'aux États-Unis. À savoir si on a encore brisé la tendance par rapport aux États-Unis. Ça reste à voir Denis, mais force est de constater et d'admettre que, au niveau de l'emploi privé, ça a été bien meilleur qu'on pensait bien qu'il y a une composante d'emploi temporaire qui était très présente au mois d'octobre. Mais oui, Denis. C'est beaucoup moins pire qu'on pensait.

Puis en même temps, on a eu notre Budget fédéral finalement.

Ben c'est ce qui nous amène à un des dénouements intéressants. On avait parlé le mois passé, on a besoin de, à Ottawa parlait d'un budget générationnel. Nous on pensait, bien la définition générationnelle, montre-moi un déficit de 3%, 100 milliards. Bon, peut-être que le budget n'était pas générationnel, mais y avait quand même un effort dans ce sens-là. Puis c'est pour ça que la Banque du Canada donne une petite gêne, parce que là, j'ai la part d'un stimuli budgétaire qui se pointe à l'horizon. Puis ce qu'on remarque Denis, c'est bon, au lieu d'être à 100 milliards comme nous on pensait, on a quand même un déficit à 80 milliards, donc ça demeure porteur, d'autant plus que il est alimenté pour les prochaines années par la ligne bleue qui sont des investissements que on veut débloquer avec moins de réglementation de façon à amener plus d'investissement du secteur privé au Canada. Denis, c'est la première fois en une décennie qu'Ottawa admet qu'ils ont été une partie du problème et qui ont miné la croissance de l'investissement des entreprises. Donc, remarque que le plan d'Ottawa, c'est de ramener l'équilibre au niveau du déficit, de la balance d'exploitation, donc les dépenses courantes du gouvernement à l'équilibre ou en surplus d'ici 3 ans. Mais, remarque, des investissements dans l'économie canadienne sont considérables. On parle de 280 milliards, dont 30 milliards ont été annoncés dans le nouveau. Donc, Denis, ça laisse encore une fois espérer que finalement, on met les conditions en place pour que l'investissement se dirige vers le Canada en 2026.

Mais Stéfane, cette nouvelle approche de présenter le déficit est très intéressante. Parce que là on parle à la fois d'un déficit qui est grand, mais en même temps qu'il y a des investissements importants qui sont porteurs dans le futur, ce qu'on ne voyait pas dans le passé, alors qu'ici là c'est quand même, même si on a des déficits, on dit, ben c'est porteur d'espoir.

Oui, parce que c'est un déficit, c'est un budget qui est structurant Denis, parce que l'objectif c'est d'augmenter la croissance à long terme de l'économie canadienne. Donc on est de là d'envoyer des chèques au ménage, puis que ça passe dans la consommation sans voir un effet pérenne pour l'économie. Là c'est l'effet pérenne vient de l'engagement d'investir, mais aussi d'y aller avec de la déréglementation et peut-être même d'ouvrir la porte à ramener de l'investissement des fonds de pension en vendant certains actifs du gouvernement. Donc beaucoup plus porteur que ce qu'on a vu dans les dernières années. Donc c'est une bonne nouvelle ça.

Puis en même temps, mais le marché boursier continue à performer comme jamais vu.

Ben comme il performe très bien comme il y a eu, la dernière fois que c'est arrivé, ça fait quand même un bon bout de temps. La dernière fois que c'est arrivé, c'est en 1993. Remarque qu'à l'époque les Blue Jays avait gagné la Coupe.

Ils ont passé proche.

La série mondiale, c'est ça, tu vois il y a des similitudes. Donc on se rendra peut-être, on finira peut-être pas l'année à plus de 25% comme en 93 parce qu'ils ont pas gagné la série mondiale, mais la réalité c'est que ce budget, la performance du S&P/TSX, ça reflète aussi les anticipations à l'effet que Ottawa allait dévoiler un budget qui soit porteur pour l'investissement et pour les bénéfices des entreprises à moyen terme. Si on enlève la réglementation, ça ne peut qu'être porteur. Donc je peux pas promettre qu'une performance aussi bonne en 2026, mais remarque que la performance du S&P/TSX, quand même, elle est à souligner cette année. Il reste un, bon, un petit peu plus qu'un mois avant la fin de l'année, mais c'est une performance à souligner. Donc le marché boursier n'a pas été déçu par le budget, puis ça c'est important Denis.

Ils comprennent l'aspect investissement dans ce budget-là, au-delà du déficit.

Absolument. Je pense que la nature du déficit, puis c'est surtout l'appuyer de réglementation, puis aussi peut-être d'une nouvelle politique énergétique qui va être annoncée dans les prochaines semaines. Donc on semble mettre, remettre sur rail le potentiel de réindustrialisation de l'économie canadienne. Tu te rappelles la dernière fois qu'on s'est parlé, le secteur manufacturier canadien est devenu plus petit que celui de l'Irlande qui a une population seulement de 5 millions, c'est absolument anormal. Donc maintenant on met les conditions en place pour se réindustrialiser. Puis Dieu sait qu'on a les outils pour le faire, mais ça prenait cette réglementation-là ou ce type de budget-là pour peut-être délier, ramener plus d'investissement au Canada.

Et par ricochet, mais le dollar canadien quand même fait vraiment bien.

Ben, le dollar canadien aussi a réagi, Denis, parce que, tu sais au début novembre, on était allé frapper, on s'est déprécié à en deçà de 1.41. Là on semble, il semble que le huard atteint une altitude de croisière qu'on essayait de découvrir, donc le budget peut être porteur Denis, mais il y a des conditions. J'ai quand même besoin, au cours des prochains mois, de plus de visibilité par rapport à l'accord de libre-échange parce qu'un des autres dénouements importants depuis la dernière fois qu'on s'est vu, c'est qu'il y a eu cette interruption au niveau des négociations sur le commerce national entre le Canada et les États-Unis, ça, ça doit reprendre. Donc le budget, c'est une condition nécessaire, mais c'est pas suffisant. J'ai besoin aussi de ramener le Canada et les États-Unis à la table de négociations pour donner de la visibilité aux entreprises. Si j'investis puis j'ai pas de visibilité par rapport à l'accès au marché américain, c'est beaucoup plus difficile. Donc on a mis les bons éléments en place, maintenant c'est l'exécution qui va primer Denis.

Ben merci Stéfane, merci à vous tous, je vous dirai pas au mois prochain parce qu'aujourd'hui, c'est ma dernière présentation avec Stéfane mais j'aimerais surtout remercier vous tous qui nous ont écouté en temps continu. Merci de vos encouragements, merci aussi de vos idées, on apprécie les lire énormément. Je tiens à remercier l'équipe du plateau, toutes les techniciens, toute l'équipe technique, ça a été un plaisir de faire les capsules économiques. Merci à Stéfane et longue vie au réseau et le mois prochain, avec quelqu'un de nouveau.

Puis Denis, ça a été un privilège, merci énormément.

Merci Stéfane.

5 • 4 • 3 Perspectives de marché

5 minutes, 4 graphiques, 3 points clés à retenir… Découvrez « 5 • 4 • 3 », un nouveau regard trimestriel ciblé sur les marchés, l’économie et l’investissement avec notre expert Louis Lajoie, du Bureau du chef des placements de la Banque Nationale Investissements.

Bonjour tout le monde. Aujourd'hui, le 4 septembre, on va prendre quelques minutes pour revenir sur les événements clés sur les marchés et dans l'économie au courant des mois d'été. Et ce que tout ça implique probablement pour les investisseurs pour la suite des choses.

Sans plus tarder, il faut le dire, on a eu droit à un été remarquablement clément sur les marchés, en commençant par les actions, qui sont restées fermement ancrées sur leur tendance haussière, avec déjà des gains de près de 13 % pour les actions mondiales et de près de 18 % pour les actions canadiennes, qui continuent de surperformer avec, entre autres, le secteur des matériaux qui fait très bien au Canada. Ce qui ressort vraiment des derniers mois, c'est à quel point ça a été calme à travers l'ensemble des marchés, incluant les obligations, qui ont continué d'évoluer sans grande direction claire, et même les devises où, dans l'ensemble, on a largement consolidé les mouvements qui ont été réalisés plus tôt cette année dans le cas du dollar canadien, donc un gain par rapport au dollar américain.

C’est tout un contraste par rapport au début d'année, où on avait eu vraiment une volatilité, même extrême. C’est un contraste qui s'explique largement par le fait que les pires craintes qui étaient suscitées par la mise en place de l'agenda économique américain, plus tôt cette année, ne se sont pas vraiment matérialisés dans les données économiques, en commençant par l'inflation, qui continue d'envoyer grosso modo le même message qu'elle envoyait avant l'implantation de tarifs douaniers, c'est-à-dire autour des 2 %, autour de la cible pour le Canada, et il faut dire quand même un peu plus haut aux États-Unis, dans ce cas-ci autour des 3 %, ce qui demeure un enjeu à surveiller.

Derrière ces chiffres, il y a quand même un certain changement dans la dynamique économique qui semble s'opérer. Lorsqu'on demande aux petites entreprises américaines quel est votre problème numéro un, on voit qu'en ce moment, c'est de moins en moins l'inflation qui est la réponse et de plus en plus de chiffre d'affaires, donc les faibles ventes, qui sont visiblement problématiques pour les entreprises. Et c'est un changement de dynamique très important parce que plus les ventes sont difficiles et plus, ultimement, des mises à pied finissent par devenir inévitables. C'est ce qui explique effectivement la relation étroite entre la faiblesse des ventes et le taux de chômage que vous voyez à l'écran. Il va falloir surveiller de très près l'évolution du marché de l'emploi au courant des prochains mois. Il y a beaucoup de pressions qui commencent à s'accumuler de ce côté-là. Il faudra surveiller également comment la Réserve fédérale américaine va adapter son message, sa politique monétaire en conséquence de tout ça.

Déjà, on a commencé à avoir un changement dans le discours avec M. Powell, qui dit notamment que l’équilibre des risques semble changer, donc en ouvrant essentiellement la porte à des baisses de taux d'intérêt dans un avenir pas trop lointain. A priori, un tel énoncé comme ça peut sembler un peu anodin, mais c'est important de comprendre que pour les marchés financiers, tout ce qui compte, c'est le futur, pas nécessairement le présent. Et c'est pour ça qu’en fait, au courant des dernières années, les orientations politiques ont été absolument cruciales pour la conduite des marchés financiers. Souvent, les points tournants dans les marchés boursiers n’étaient pas nécessairement lors de points tournants dans ce qui se passait dans le moment, mais lors de points tournants dans les orientations politiques, généralement de la Réserve fédérale. C'est un peu aussi ce qu'on a vécu avec l'entrée en vigueur des tarifs douaniers plus tôt cette année. Alors pour autant que l'activité économique garde un certain rythme dans les prochains mois, ce changement de ton au niveau de la Réserve fédérale pourrait effectivement aider à garder les marchés boursiers sur une tendance haussière.

En conclusion, trois points à retenir. Je le disais tout à l'heure, essentiellement, en résumé, qu’on a eu droit au calme après la tempête tarifaire au courant des derniers mois, parce que cette tempête, ultimement, n'aura pas, pour l'instant, créé trop de dommages visibles dans l'économie, bien que l'économie soit visiblement en transition, il y a plus en plus de pression qui s'observe au niveau du marché de l'emploi et donc probablement une transition dans la politique monétaire vers quelque chose d'un peu plus neutre aux États-Unis. Pour les investisseurs, qu'est-ce que tout ça veut dire? Je vous résumerais ainsi : l'été est terminé; ce que je veux dire, c'est qu'il faut probablement s'attendre à une reprise de volatilité à un moment ou un autre. C'est tout à fait normal. Mais dans l'ensemble, il y a encore des raisons de garder un certain optimisme avec la résilience des bénéfices des entreprises cotées en bourse et des orientations politiques un peu plus favorables également à l'horizon.

C'est tout pour aujourd'hui. Merci d'avoir été à l'écoute. On se reparle en décembre. Bon automne tout le monde!

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